La cuisine est une histoire de famille chez les Farroukh. Haïdar fonda son premier restaurant, Adonis, à Dakar en 1950. Une initiative précoce pour cet autodidacte, très tôt aux fourneaux pour aider sa mère. Il fera découvrir toute la générosité des mets libanais.
Son fils, Fadel, y fera ses premières armes avant de s’exiler à Paris en 1999. Il se consacra à faire découvrir la street food libanaise et son fameux saj traditionnel. Père et fils tissent alors cette relation de confiance et parfois de défiance, mais sont conscients qu’ils partagent une même vision et sensibilité, celle d’une cuisine généreuse et pétrie d’amour, celle de Téta….
Aujourd’hui, ils se retrouvent et nous donnent le meilleur de leur passion culinaire.